LA BATARDE D'ISTANBUL

Tiraillée entre sa mère américaine et son père arménien, Amy (ou Armanoush) décide sur un coup de tête de visiter cette Turquie si lointaine, espérant se réconcilier avec elle-même. Elle sera hébergée par la famille de son beau-père, lui même-turque, et va découvrir une Istanbul bien loin des clichées qu'elle pouvait en avoir.

Se liant d'amitié avec sa cousine par alliance Asya, elles vont faire ressortir les ombres de leurs passés plus proches et liés qu'il n'y parait.

Une véritable fresque familiale où chaque chapitre porte le nom d'une épice ou d'un produit typique de la cuisine turque qui sans être l'élément principal de l'histoire est toujours un lien entre les personnages, on passe ainsi de la cannelle à la pistache, aux oranges pelées aux grains de grenade ou au riz blanc, avec un dernier chapitre intitulé Cyanure de potassium qui laisse planer peu de doute sur la conclusion funeste (mais pour qui ?) de cette histoire...